Je vais prêcher contre mon intérêt personnel :
Actuellent, comme retraitée ayant élevé 3 enfants, j'ai droit à une majoration de ma retraite de 10%
Mes parents, qui en ont eu 6, ont eu droit à une majoration de 20%
Cette mesure ne profite en aucun cas aux enfants, et n'aide en aucune manière à les élever décemment.
Elle ne profite qu'aux parents qui ont eu de nombreux enfants à une époque de leur vie où ils ont fini de les élever.
Elle n'est donc destinée qu'à encourager la conception d'un troisième enfant, puis d'un cinquième.
Elle est injuste, car proportionnelle au montant de la retraite, alors qu'il est plus difficile d'élever des enfants avec de faibles revenus qu'avec de gros. Un effort plus grand est donc récompensé par des primes plus petites !
A effort égal ou moindre, on donne plus aux riches !
Quant aux mères de familles qui ont cessé toute activité professionnelle pour élever leurs enfants, elles n'en voient même pas la couleur, puisqu'elles n'ont pas, ou si peu, travaillé !
Moi qui ai arrêté de travailler pendant 5 ans, puis travaillé 15 ans à temps partiel pour m'occuper de mes enfants, je n'ai évidemment pas une grosse reraite !
C'est donc, dans les faits, une mesure machiste qui bénéficie surtout au père, avantage financier qu'il conservera même s'il se sépare de son épouse en la laissant se débrouiller seule dans la vie avec son absence de vie professionnelle et son absence de cotisations de retraite ! Alors que l'effort d'élever ses enfants, c'est elle qui l'a fait en plus grande partie !
Alors, je propose que cette mesure disparaisse pour les futurs enfants à naître. (je ne vais pas me tirer une balle dans le pied, quand même !)
En effet, l'Etat doit tenir ses engagements auprès de ceux qu'il a encouragé à procréer, (dont moi !), mais cesser d'encourager les parents de familles nombreuses.
Par contre, cette "prime" de natalité devrait, en cas de séparation, être au moins partagée en deux entre les parents, ou mieux encore, être versée en plus grande partie à celui (ou plutôt celle) qui a cessé son activité pour élever ses enfants.
Car, quand les enfants sont nés, il faut s'en occuper le mieux possible. c'est l'intérêt de la nation.
Actuellent, comme retraitée ayant élevé 3 enfants, j'ai droit à une majoration de ma retraite de 10%
Mes parents, qui en ont eu 6, ont eu droit à une majoration de 20%
Cette mesure ne profite en aucun cas aux enfants, et n'aide en aucune manière à les élever décemment.
Elle ne profite qu'aux parents qui ont eu de nombreux enfants à une époque de leur vie où ils ont fini de les élever.
Elle n'est donc destinée qu'à encourager la conception d'un troisième enfant, puis d'un cinquième.
Elle est injuste, car proportionnelle au montant de la retraite, alors qu'il est plus difficile d'élever des enfants avec de faibles revenus qu'avec de gros. Un effort plus grand est donc récompensé par des primes plus petites !
A effort égal ou moindre, on donne plus aux riches !
Quant aux mères de familles qui ont cessé toute activité professionnelle pour élever leurs enfants, elles n'en voient même pas la couleur, puisqu'elles n'ont pas, ou si peu, travaillé !
Moi qui ai arrêté de travailler pendant 5 ans, puis travaillé 15 ans à temps partiel pour m'occuper de mes enfants, je n'ai évidemment pas une grosse reraite !
C'est donc, dans les faits, une mesure machiste qui bénéficie surtout au père, avantage financier qu'il conservera même s'il se sépare de son épouse en la laissant se débrouiller seule dans la vie avec son absence de vie professionnelle et son absence de cotisations de retraite ! Alors que l'effort d'élever ses enfants, c'est elle qui l'a fait en plus grande partie !
Alors, je propose que cette mesure disparaisse pour les futurs enfants à naître. (je ne vais pas me tirer une balle dans le pied, quand même !)
En effet, l'Etat doit tenir ses engagements auprès de ceux qu'il a encouragé à procréer, (dont moi !), mais cesser d'encourager les parents de familles nombreuses.
Par contre, cette "prime" de natalité devrait, en cas de séparation, être au moins partagée en deux entre les parents, ou mieux encore, être versée en plus grande partie à celui (ou plutôt celle) qui a cessé son activité pour élever ses enfants.
Car, quand les enfants sont nés, il faut s'en occuper le mieux possible. c'est l'intérêt de la nation.